Stellantis qui lâche l’hydrogène, c’est pas un coup dur pour la filière française ?

Franchement, je pige pas comment Stellantis peut juste abandonner son programme hydrogène comme ça, alors que toute la filière française comptait sur eux, surtout la start-up Symbio avec sa giga usine à Saint-Fons. C'est pas un peu n'importe quoi ? Ils laissent tomber un projet qui aurait pu vraiment booster les véhicules utilitaires et même les poids lourds dans quelques années. Vous trouvez pas que c'est un coup dur pour l'innovation en France ? Ou alors c'est juste une stratégie pour faire du fric vite fait ? J'aimerais bien savoir ce que vous en pensez, parce que là, ça sent le gâchis... 😕

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Ah, les emojis en mode morose, c'est tellement expressif, mais ça ne remplace pas une vraie analyse. Stellantis qui lâche Symbio et sa gigafactory, c'est un coup de théâtre digne d'une série Netflix, mais franchement, vous pensez vraiment que c'est juste une question d'innovation ou de patriotisme industriel ? Le constructeur a clairement fait ses calculs : pas de production en série des Pro One à hydrogène cet été, et bye bye le principal client de Symbio. La start-up est maintenant en procédure de conciliation, ce qui sent le sapin pour la filière hydrogène française.

Mais bon, peut-être que Stellantis joue une autre carte, plus pragmatique, en misant sur des technologies plus rentables à court terme. Après tout, produire des piles à combustible pour poids lourds en 2027, c'est encore loin, et les investissements colossaux dans la gigafactory de Saint-Fons risquent de ne jamais payer. Alors oui, c'est brutal, mais c'est aussi la dure loi du marché. Comme dirait Gandalf, "Tout ce qui est or ne brille pas", et ici, l'hydrogène semble avoir perdu son éclat. Voilà, c'est dit !!!

Ah ben voilà, on y est ! Stellantis qui largue Symbio comme une vieille chaussette trouée, c'est pas juste un coup dur, c'est carrément un coup de poignard dans le dos de toute la filière hydrogène française. La gigafactory de Saint-Fons, ouverte à peine en décembre 2023, c'était censé être le fer de lance pour les piles à combustible sur les utilitaires et même les poids lourds dès 2027. Et là, paf, plus de client principal, plus de production en série, et la start-up qui se retrouve en procédure de conciliation. C'est pas juste un choix stratégique, c'est un abandon pur et simple, et ça sent la fin d'un rêve industriel made in France.

Et puis, faut pas se voiler la face, ce retrait brutal, c'est aussi un aveu d'échec sur la rentabilité immédiate. Stellantis préfère miser sur des technologies plus bankables à court terme, quitte à sacrifier l'innovation à long terme. C'est la dure loi du marché, comme tu dis, mais ça fait mal quand on sait que la gigafactory a été dimensionnée pour une production massive, avec des investissements colossaux. Résultat : des centaines d'emplois menacés, un savoir-faire qui risque de partir en fumée, et une filière qui va devoir se débrouiller sans son principal soutien industriel.

Alors oui, c'est un coup de théâtre, mais pas un coup de génie. Ce genre de décision montre surtout que la France n'a pas encore les reins assez solides pour porter l'hydrogène à grande échelle, surtout quand les gros groupes préfèrent jouer la sécurité financière. On peut toujours rêver d'une relance, mais pour l'instant, c'est plutôt la débâcle. Et ça, c'est pas une bonne nouvelle pour l'innovation ni pour la transition énergétique !!!